SONDAGE (SUITE)

Vient ensuite l’absence d’avantages sociaux et de vacances rémunérées. Ces inconvénients découlent du statut et de modalité d’exercice du travail autonome : ils représentent la contrepartie de l'indépendance et de la flexibilité qu’il autorise.

  • Absence d’avantages sociaux (47%)
  • Insécurité ou peur de manquer de contrats (29%)
  • Pas de vacances rémunérées (42%)
  •  Devoir accomplir diverse tâche administrative (55%)
  • Gérer de front plusieurs contrats (17%)
  • De longues heures de travail (14%)
  • Stress (26%)


En plus de leur cœur de métier, l’informatique, les répondants doivent réaliser d'autres tâches notamment des tâches administratives (comptabilité recouvrement, etc.), pour le quelles ils ne sont pas nécessairement formés. La diversité des tâches et le fait d'avoir parfois plusieurs clients en même temps exigent donc une certaine polyvalence de la part du travailleur autonome. En outre toutes les activités du travailleur autonome ne sont pas nécessairement facturées aux clients ce qui peut engendrer de longues heures de travail et du stress voire l’ingérence du travail dans la vie personnelle.


Enfin, il est à noter que le statut de travailleur autonome a augmenté le niveau de stress pour 31% des répondants.


Le fait d’appartenir à une association professionnelle comme la Coop Telsys limite la perception de l'isolement, du manque de possibilité de formation et de sources d'information que peut provoquer le travail autonome.